Le deuxième type d’escalier en bois dont nous allons parler aujourd’hui est l’escalier hélicoïdal. Tel le type classique et droit, ce type bénéficie de ses avantages, a ses particularités quand il s’agit de son installation et s’imperfectionne du peu d’inconvénients qui le pénalisent. Chaque point sera traité et énuméré, et le premier est de toute évidence les différentes étapes de son installation.
Source : Archiexpo.fr.
Les particularités d’un escalier hélicoïdal :
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L’installation d’un escalier hélicoïdal passe généralement par 7 étapes, dues essentiellement au tournant qui exige plus d’attention et de prises de mesures.
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Ainsi, la première étape consiste en la prise de mesures. Il s’agit de vérifier que l’ouverture du grenier et de l’espace accueillant un escalier tournant soit assez large, sans omettre de prendre en considération la balustrade, en rajoutant quelques centimètres de plus de chaque côté de l’escalier, selon le type de cette dernière.
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Une fois les mesures prises et l’espace analysé, il importe de prendre une décision, à savoir vers quelle direction installer le tournant de notre escalier : vers la gauche ou vers la droite ? Pour ne pas se tromper, il faut s’assurer d’avoir un dégagement suffisant à l’entrée et à la sortie de l’escalier, et que ce dernier n’aboutisse pas à un obstacle en descendant, ni à une trémie en montant.
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Après avoir choisi la direction du tournant de votre escalier hélicoïdal, la pratique s’entame à travers la troisième étape, en déterminant la position de la dernière marche à l’ouverture du grenier, et en marquant ses bords. Cette dernière détermine d’ailleurs la position de la toute première marche située en bas, en dessinant le contour de la plateforme, qui est située au centre de l’ouverture du grenier, sur le sol.
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Ensuite, la quatrième étape implique l’emplacement de la colonne, souvent en métal et fréquemment en acier inoxydable, sur le sol et l’insertion des marches vers la gauche et vers la droite, selon l’aménagement de votre intérieur, afin de conserver l’équilibre de la colonne. Il s’agit après de fixer cette dernière à la plateforme, et d’installer les balustres à partir d’en haut.
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La cinquième étape consiste en l’insertion de la main-courante, et votre escalier hélicoïdal en bois peut même s’en munir d’une en acier inoxydable, en métal ou en aluminium. Ensuite, il faudrait fixer le balustre du bas au sol avec une place métallique et des vis.
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La sixième étape touche beaucoup plus l’aspect fonctionnel, et il est important de monter une balustrade autour de l’ouverture du grenier, dans le plancher, et de la fixée à la colonne centrale ainsi qu’au mur.
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Quant à la septième et dernière étape, il s’agit des finitions que le bricoleur voudrait apporter à son escalier hélicoïdal.
Peut être, pour un bricoleur expérimenté, ces étapes semblent bien faciles. Toutefois, il est recommandé de faire appel à un professionnel dans le cas contraire, pour ne pas causer de dégâts, ni humain ni financier. De plus, il est possible de profiter de la TVA à taux réduit de 7% en faisant appel à un professionnel.
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Les avantages d’un escalier hélicoïdal :
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Les avantages d’un escalier hélicoïdal se résument surtout à l’économie d’escape effectuée, grâce à son diamètre de 120 à 160 cm. Du côté décoratif, il propose souvent un style original, selon le matériau composant ses marches, la colonne centrale et son garde-corps.
Ses inconvénients :
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Ce type d’escalier en bois est plus risqué que les escaliers droit à titre d’exemple. Surtout quand le grenier est utilisé pour des raisons professionnelles ou commerciales tel le stockage de produits, il complique le transport d’objet, à cause de son étroitesse.
Ainsi, un escalier hélicoïdal semble être adapté à certaine situation, plus précisément aux petits espaces nécessitant quand même un escalier pratique.